Ódio, rancor
Eu estou me afogando...
Cada dia mais me esvaindo
Neste oceano de tristezas e desgosto.
(Tão só...)
Tão escarneado, tão desiludido outra vez
A vagar pelos os cantos e recantos desta mente, deste quarto, trancado, cercado...
Por fantasmas, que zombam de minha derrota
Que choram, que choram.
Todos foram embora...
E eu fiquei aqui só outra vez
Cada adeus, cada mágoa
Que me rasga por dentro
E retalha meus pensamentos
Cada lágrima, cada lágrima...
E os pensamentos se aflorando, me fazem pensar que viver hoje não será melhor que ontem
Que hoje será só mais um dia para se lamentar e viver em vão de novo
Carregando um vazio imensurável no meu coração.
To me this is DSBM at it's best. calming, emotion filled riffs, vocals are a perfect blend between heart wrenching and eerie, and last but not least, the ATMOSPHERE. One of my absolute favorites for this sub genre The Laughing Stock
"La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf None, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral... Jordan Vauvert
Il n'y a pas de douleur inutile. Pour moi qui suis amateur de la musique de Shining, ce chantre de l'illumination par la douleur extrême — voire par le suicide —, ce titre de Ter Ziele me parle de manière singulière.
La comparaison s'arrête là, cependant, There is no useless pain offrant un DSBM d'une douleur atroce et authentique. Ne vous attendez pas à ces morceaux qui tiennent sur trois notes et 2 BPM : Déhà joue comme un virtuose, associant la mélancolie à une forme de relaxation. Jordan Vauvert